redac'
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redac'
On remet ça ici
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Millésime
Stanislas était rentré du golf plus tard que d’habitude ce soir là, et il avait des courbatures dans le dos. Il s’affala dans son canapé en cuir et s’étira. Puis, il se releva, et alla dans la cuisine, où Nestor, son domestique, l’attendait :
« Monsieur, vous désirez?
-Vous vous souvenez de cette bouteille de vin millésime? Je crois qu’un petit verre me soulagerait de mes courbatures.
-Bien Monsieur. J’y vais Monsieur. »
Le domestique repartit, pensant que son employeur n’était qu’une amphore avinée pour qui tout moment était propice à picoler. Lorsqu’il revint, une bouteille dans les mains, il entendit un cri venant de la cuisine.
« Nestor? Nestor!
-Oui Monsieur, j’arrive!
-Nestor! Dépêche-toi!
-Oui, oui je me dépêche! »
Nestor se demandait pourquoi Stanislas était si pressé, mais il eut vite réponse à sa question : l’extrémité d’une échelle dépassait désormais dans la cuisine. Le bois avait percé un trou dans la cloison, juste au dessus de l’évier, et dans la fumée faite par les gravats, on ne discernait pas encore grand-chose. Le domestique posa la bouteille par terre, avança à tâtons, et alla ouvrir la baie vitrée. Peu à peu, le nuage se dissipa, et Nestor aperçu son employeur se relever.
« Eh bien Nestor? Qu’attendez vous? Allez me chercher un smoking propre! Je ne peux pas m’occuper de ce problème en étant couvert de poussière!
-Tout de suite Monsieur. »
Le domestique partit, Stanislas se versa un, deux, puis trois verres de vin, avant de se s’arrêter et de se tourner vers la fameuse échelle. Une échelle dans un appartement… On se demande quelle personne peut être assez idiote pour monter une échelle dans un appartement! Bon sang! Et comment peut-on percer un mur avec une échelle? Avec une perceuse, un burin, ou encore un béret, d’accord, mais avec une échelle…
Stanislas était encore en train de ruminer ses idées sur l’arrivée de l’échelle quand le domestique parut, une nouvelle veste de smoking propre sous le bras. Après que l’homme ait changé de veste, Nestor examina à son tour l’échelle, puis se tourna vers Stanislas.
« Comment cette échelle a-t-elle pu casser la cloison? Avez-vous une idée Monsieur?
-Pour l’instant non Nestor. Mais les roturiers ont une imagination débordante. Ils peuvent fabriquer de ces machines pour nous pourrir la vie, jaloux de nous comme ils sont!
-Et qu’allez vous faire?
-Il faudra d’abord cacher ce trou, et ensuite, j’appellerai mon avocat. Il va tailler en pièce la canaille qui m’a dérangé. »
Les deux personnes poussèrent une armoire devant la brèche, puis Stanislas décrocha le téléphone et régla ses histoires de procès avec son avocat, qui prendrait la chose en main. Puis l’homme revint vers son domestique, pensant en avoir terminé avec les problèmes.
« Voila qui est fait. J’espère pour ces adorables voisins qu’ils auront une bonne défense. Où plutôt, je n’espère pas, j’ai envie de les voir payer moult dommages et intérêts.
-Vous allez sûrement vous enrichir alors, Monsieur.
-Pourquoi dis-tu cela ? Une bête affaire de voisinage ne rapporte pas gros.
-Mais des affaires de voisinages, oui.
-Et voila, ça recommence… Bon, menez moi vers ce que ces roturiers ont fait, je m’en occupe, dans la foulée.
-Si Monsieur veut bien me suivre… »
Les deux personnes passèrent dans le salon, où un autre trou avait apparu dans le mur. Celui-ci, de taille moyenne, aurait pu laisser passer à lui seul un ventilateur. Un gros ventilateur, même.
« Diantre, les roturiers n’ont pas d’imagination… Quitte à m’ennuyer, qu’ils soient au moins inventifs… Que peut-on faire d’un bouffon qui endort l’assemblée?…
-On le vire, Monsieur?
-Oui. Il parait qu’à l’époque, on les pendait. Ce devait être excitant!
-Chacun son point de vue… »
Stanislas s’approcha du trou, et, constatant que la fissure avait abîmé le portrait de ses ancêtres, il entra dans une violente colère.
« Ils vont payer! Des têtes vont tomber! »
Il alla à la cuisine, et revint, un long couteau de cuisine dans la main, quand il fut arrêté par Nestor. Celui-ci, prévoyant la colère de son employeur soupe au lait, s’était armé du fusil de chasse de Stanislas, ce dernier étant un grand amateur de traque.
« Ecarte-toi, Nestor! Je vais laver l’offense dans le sang du voisin! Ça va saigner! »
Stanislas n’eut pas le temps de dire « Couteau à fromage » que Nestor avait déjà tiré une seringue de tranquillisant pour rhinocéros dans le bras du gentilhomme. Ce dernier tituba, puis s’étala sur le plancher. Le domestique souleva le corps inanimé, pour le coucher sur le divan.
A la vue de cette personne profondément endormie, une idée sournoise germa dans la tête de Nestor : pourquoi ne pas se payer les mois de bons et loyaux services rendus à l’héritier? Le domestique retourna le corps, et fouilla dans les poches du veston, pour enfin trouver le portefeuille. Il en tira une liasse de billets, dont il en prit quelques uns. Et tant qu’on y est, autant fêter ça avec le vin millésime!
Le domestique alla vers la cuisine, ramassa la bouteille, et se versa un grand verre. Puis un deuxième. Et encore un autre. Tout cela jusqu’à finir la bouteille…
Revenant au salon, avec un sacré coup dans le nez, Nestor aperçu avec stupeur une énorme araignée, en train de pondre ses oeufs sur le corps endormi de Stanislas. Prenant son courage à deux mains, une bombe insecticide à une main, et s’appuyant sur le buffet pour ne pas s’étaler par terre, Nestor prononça un symbolique :
« A nous deux l’araignée! »
Il dégaina son arme, la fit tourner dans la main, à la manière de John Wayne, de Lucky Luke, ou de Rantanplan et mit la triple dose d’insecticide sur la bête, qui mourut rapidement, asphyxiée. Le problème était que Théophile, ayant inhalé les vapeurs toxiques, commençait à avoir des quintes de toux. Les gaz menaient la vie dure aux poumons de l’héritier. Celui-ci, se débattant dans son agonie, se fracassa le scaphoïde contre le coin de la table basse, accumulant les douleurs.
Nestor, à la fois heureux à cause de l’alcool et horrifié par le spectacle, fut face à un dilemme cornélien : Soit fuir et laisser mourir son employeur, ou alors appeler du secours, et se faire arrêter. Après une longue réflexion d’une demi seconde, Nestor alla se chercher une seconde bouteille, s’enfila quelques verres supplémentaires derrière la cravate, prit tout l’argent de Théophile, et partit par la porte d’entrée, se disant que de toute façon, Théophile… euh, non…Stanislas (Ou alors était-ce Jean-Mouloud?) n’était qu’une tâche.
Il laissa un Stanislas mourant, comme on jette un chien galeux sur le bord de l’autoroute, qui se serait oublié sur la banquette arrière de l’Audi.
Antoine Gauthiez
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Read is dead- Démon
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Re: redac'
ça se voit pas ? C'est la recette du poulet au sidi brahim !
Treve de plaisanteie, c'est une redac qu'on devait faire pour l'école. A rendre demain.
Treve de plaisanteie, c'est une redac qu'on devait faire pour l'école. A rendre demain.
Read is dead- Démon
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Re: redac'
a ouais faudrais ptetre que je m'y met^^
Ange The Return- Démon
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Situation amoureuse : mmm... ya du mouvement
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Re: redac'
erf, ange, le roi des branlots
Read is dead- Démon
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Re: redac'
nan c'est pas vrai c'est parce que mon grand-père est mort et maintenant c'est le bordel alors on y est allé, là j'ai fait mon brouillon et j'ai plus qu'a rédigé. C'est l'intention qui compte d'obard euh d'abord
Ange The Return- Démon
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Re: redac'
bon vlà la mienne ^^
Week-end mouvementé
Je m’appelle Ralph Ikabogha, je suis un rasta noir d’origine Africaine et j’ai 27 ans. Je travaille dans une société de taxi. Dans mon pays, on pense que le cannabis est une plante médicinale aux vertus de guérison multiples c’est pourquoi je lutte pour qu’elle soit reconnue comme plante légale. Même si je n’aime pas beaucoup les policiers, je suis une personne habile de mes mains, et très sympathique. J’aime bien les animaux et comme musique, j’aime beaucoup le Reggae qui est une musique typique de mon pays.
Il est 20H30, samedi soir, le jour où je peux prendre du repos et je peux enfin déballer le colis de Rachid où se trouve un stock de feuilles de cannabis. Je me prépare un petit kebab pour dîner ce soir, je le mets au four et…. Boum ! Quand j’ai voulu brancher mon four, j’ai été projeté en arrière par une secousse électrique : un petit court-circuit, rien de bien méchant !
J’ai remis dix minutes plus tard mon four à chauffer et j’ai fumé un petit joint en attendant.
J’ai pu enfin manger mon kebab et déguster le délicieux gâteau que m’a offert ma copine : Emmanuelle. Après, j’ai fumé un deuxième joint pour la digestion en écoutant mon artiste préféré : Peter Tosh, qui, comme moi, était pour la légalisation du cannabis. Lorsque tout à coup, le téléphone sonne : une fille inconnue au bout du fil, je lui dit :
« Euh, ouais allô ?
- Oui salut Richard ! C’est moi !
- Ah, euh c’est Emmanuelle ? Merci pour le gâteau, vraiment excellent !
- Mais, moi c’est Anne, qui êtes-vous ?
- Je m’appelle Ralph et je fume du cannabis !
- Excusez-moi j’ai du me tromper de numéro, au revoir !
- Eh non, ne partez pas comme ça !
- Oui, quoi ?
- Donnez-moi votre numéro vous m’avez l’air très sympathique.
- D’accord : 0606 69 10 45
- Merci, au revoir
- Au revoir ! »
Sur ce, elle raccrocha et moi j’explosais de rire ! Alors pour continuer sur ce bon fou rire, je fume mon troisième joint, je commence à divaguer et je trouve ça génial !
C’est alors que je vis la fumée de mes joints monter dans l’appartement du dessus, ce qui me fit exploser de rire à nouveau parce que je m’imaginais déjà la réaction du voisin : ah ! ça pue ! Qu’est-ce que c’est que ça !
Comme j’étais déjà bien parti pour semer la pagaille dans l’immeuble, je continuai en appelant la police et je leur dis où j’habitais en donnant l’adresse de mon voisin d’à coté.
Je venais d’avaler ma fumée de travers tellement je rigolais en pensant à ce qui allait se passer !
J’ai fais une petite pause histoire de calmer mon fou rire et je suis allé chercher de quoi me fumer un quatrième joint, en fait, je ne vais pas y mettre deux feuilles de cannabis mais cinq ! Comme ça, je dormirai bien ce soir ! Et en tirant une bouffée de joint, j’entendis ma musique préférée, et là, tout s’enchaîna. Je me suis mis à hausser le volume et à chanter sur la piste nommée : Legalize it et ma voisine, cette vieille peau a ouvert sa fenêtre, elle n’était jamais contente celle-là ! Alors j’entamai une petite conversation avec ça, euh, elle :
« Bonsoir Madame ! Comment allez-vous ?
- Quoi ! Comment ça comment je vais ! Et votre cochonnerie de musique là ! Vous croyez qu’on aime ça hein ?
- Ah mais du calme Madame ! Tenez ! Je vous offres un joint de cannabis, ça va vous détendre !
- Gardez votre saleté et arrêtez-moi cette musique ! Je vous ferai remarquer que vous n’êtes pas seul ici ! Il y a des gens qui dorment Monsieur !
- Arrêtez ça non ! Mais je vous promets de baisser le volume Madame, au revoir ! »
J’étais complètement perdu alors j’ai vite coupé court à la conversation. De toutes façons, cette vieille mégère ne perd rien pour attendre ! Je l’aurai bien un jour celle-là ! Vivement qu’elle mange les pissenlits par la racine ! Elle pourri tout l’immeuble et elle ose encore dire « vous NOUS dérangez » alors qu ‘elle parle en son nom ! Je suis gentil mais avec elle c’est très difficile.
Aller, je me fume un cinquième joint pour oublier tout ça.
J’ai baissé le volume et j’ai arrêté de chanter pour faire plaisir à la vieille. Il était 21H25 et je commençais à me marrer tout seul, j’ai donc décidé de danser sur Get up, Stand up.
Je tapais du pied et ce sol était vieux alors ça résonnait en dessous, quand je m’en suis aperçu, je me tordis de rire sur mon canapé pour je ne sais quelle raison.
Je ne sais pas si c’était moi ou l’effet du cannabis mais j’entendis des voix.
En effet il y avait une dispute en dessous et je pense qu’il y avait une fête et que la vieille mégère faisait encore des siennes, j’y serais bien allé, mais ma tête commençait à tourner alors j’ai décidé de décrocher le téléphone pour appeler Emmanuelle et la remercier du gâteau :
« Oui, allô ? C’est Emmanuelle ?
- Ben ouais, c’est Ralph là ?
- Oui, je t’appelais pour te remercier du gâteau que tu m’avais donné, merci !
- Ah, ça, ah de rien, sinon ça va toi ?
- Ben ouais, bon je te laisses je suis sur un coup : une fille qui s’était trompé de numéro de téléphone, salut !
- Bon courage mec, salut ! »
Je décidai donc d’appeler cette fille étrange qui s’était trompé de numéro de téléphone :
« Allô ? C’est Ralph !
- Ah oui bonjour, comment ça va ?
- Dites, je ne connais toujours pas votre prénom Madame !
- Ah, ben moi c’est Anne, il me semblait vous l’avoir déjà dit non ?
- Euh je sais plus, faut dire que j’ai fumé six joints de cannabis !
- Ben moi c’est mon cinquième !
- Ah ! Il faudrait qu’on puisse se voir, on va bien s’entendre tous les deux !
- Je crois aussi ! Bon à la prochaine !
- D’accord je t’appelles demain ! »
Et voilà ! Emballé c’est roulé ! Une fille qui fume presque autant que moi, c’est pas tous les jours qu’on voit ça dis-donc. Bon ben moi je suis raide-mort défoncé, alors je crois que je vais dormir un peu, ah non !
Je vais fumer un petit joint et mettre la musique à fond pour la vieille peau ! Tiens ! La vieille ! De la Techno à fond ! Manges !
FIN
Week-end mouvementé
Je m’appelle Ralph Ikabogha, je suis un rasta noir d’origine Africaine et j’ai 27 ans. Je travaille dans une société de taxi. Dans mon pays, on pense que le cannabis est une plante médicinale aux vertus de guérison multiples c’est pourquoi je lutte pour qu’elle soit reconnue comme plante légale. Même si je n’aime pas beaucoup les policiers, je suis une personne habile de mes mains, et très sympathique. J’aime bien les animaux et comme musique, j’aime beaucoup le Reggae qui est une musique typique de mon pays.
Il est 20H30, samedi soir, le jour où je peux prendre du repos et je peux enfin déballer le colis de Rachid où se trouve un stock de feuilles de cannabis. Je me prépare un petit kebab pour dîner ce soir, je le mets au four et…. Boum ! Quand j’ai voulu brancher mon four, j’ai été projeté en arrière par une secousse électrique : un petit court-circuit, rien de bien méchant !
J’ai remis dix minutes plus tard mon four à chauffer et j’ai fumé un petit joint en attendant.
J’ai pu enfin manger mon kebab et déguster le délicieux gâteau que m’a offert ma copine : Emmanuelle. Après, j’ai fumé un deuxième joint pour la digestion en écoutant mon artiste préféré : Peter Tosh, qui, comme moi, était pour la légalisation du cannabis. Lorsque tout à coup, le téléphone sonne : une fille inconnue au bout du fil, je lui dit :
« Euh, ouais allô ?
- Oui salut Richard ! C’est moi !
- Ah, euh c’est Emmanuelle ? Merci pour le gâteau, vraiment excellent !
- Mais, moi c’est Anne, qui êtes-vous ?
- Je m’appelle Ralph et je fume du cannabis !
- Excusez-moi j’ai du me tromper de numéro, au revoir !
- Eh non, ne partez pas comme ça !
- Oui, quoi ?
- Donnez-moi votre numéro vous m’avez l’air très sympathique.
- D’accord : 0606 69 10 45
- Merci, au revoir
- Au revoir ! »
Sur ce, elle raccrocha et moi j’explosais de rire ! Alors pour continuer sur ce bon fou rire, je fume mon troisième joint, je commence à divaguer et je trouve ça génial !
C’est alors que je vis la fumée de mes joints monter dans l’appartement du dessus, ce qui me fit exploser de rire à nouveau parce que je m’imaginais déjà la réaction du voisin : ah ! ça pue ! Qu’est-ce que c’est que ça !
Comme j’étais déjà bien parti pour semer la pagaille dans l’immeuble, je continuai en appelant la police et je leur dis où j’habitais en donnant l’adresse de mon voisin d’à coté.
Je venais d’avaler ma fumée de travers tellement je rigolais en pensant à ce qui allait se passer !
J’ai fais une petite pause histoire de calmer mon fou rire et je suis allé chercher de quoi me fumer un quatrième joint, en fait, je ne vais pas y mettre deux feuilles de cannabis mais cinq ! Comme ça, je dormirai bien ce soir ! Et en tirant une bouffée de joint, j’entendis ma musique préférée, et là, tout s’enchaîna. Je me suis mis à hausser le volume et à chanter sur la piste nommée : Legalize it et ma voisine, cette vieille peau a ouvert sa fenêtre, elle n’était jamais contente celle-là ! Alors j’entamai une petite conversation avec ça, euh, elle :
« Bonsoir Madame ! Comment allez-vous ?
- Quoi ! Comment ça comment je vais ! Et votre cochonnerie de musique là ! Vous croyez qu’on aime ça hein ?
- Ah mais du calme Madame ! Tenez ! Je vous offres un joint de cannabis, ça va vous détendre !
- Gardez votre saleté et arrêtez-moi cette musique ! Je vous ferai remarquer que vous n’êtes pas seul ici ! Il y a des gens qui dorment Monsieur !
- Arrêtez ça non ! Mais je vous promets de baisser le volume Madame, au revoir ! »
J’étais complètement perdu alors j’ai vite coupé court à la conversation. De toutes façons, cette vieille mégère ne perd rien pour attendre ! Je l’aurai bien un jour celle-là ! Vivement qu’elle mange les pissenlits par la racine ! Elle pourri tout l’immeuble et elle ose encore dire « vous NOUS dérangez » alors qu ‘elle parle en son nom ! Je suis gentil mais avec elle c’est très difficile.
Aller, je me fume un cinquième joint pour oublier tout ça.
J’ai baissé le volume et j’ai arrêté de chanter pour faire plaisir à la vieille. Il était 21H25 et je commençais à me marrer tout seul, j’ai donc décidé de danser sur Get up, Stand up.
Je tapais du pied et ce sol était vieux alors ça résonnait en dessous, quand je m’en suis aperçu, je me tordis de rire sur mon canapé pour je ne sais quelle raison.
Je ne sais pas si c’était moi ou l’effet du cannabis mais j’entendis des voix.
En effet il y avait une dispute en dessous et je pense qu’il y avait une fête et que la vieille mégère faisait encore des siennes, j’y serais bien allé, mais ma tête commençait à tourner alors j’ai décidé de décrocher le téléphone pour appeler Emmanuelle et la remercier du gâteau :
« Oui, allô ? C’est Emmanuelle ?
- Ben ouais, c’est Ralph là ?
- Oui, je t’appelais pour te remercier du gâteau que tu m’avais donné, merci !
- Ah, ça, ah de rien, sinon ça va toi ?
- Ben ouais, bon je te laisses je suis sur un coup : une fille qui s’était trompé de numéro de téléphone, salut !
- Bon courage mec, salut ! »
Je décidai donc d’appeler cette fille étrange qui s’était trompé de numéro de téléphone :
« Allô ? C’est Ralph !
- Ah oui bonjour, comment ça va ?
- Dites, je ne connais toujours pas votre prénom Madame !
- Ah, ben moi c’est Anne, il me semblait vous l’avoir déjà dit non ?
- Euh je sais plus, faut dire que j’ai fumé six joints de cannabis !
- Ben moi c’est mon cinquième !
- Ah ! Il faudrait qu’on puisse se voir, on va bien s’entendre tous les deux !
- Je crois aussi ! Bon à la prochaine !
- D’accord je t’appelles demain ! »
Et voilà ! Emballé c’est roulé ! Une fille qui fume presque autant que moi, c’est pas tous les jours qu’on voit ça dis-donc. Bon ben moi je suis raide-mort défoncé, alors je crois que je vais dormir un peu, ah non !
Je vais fumer un petit joint et mettre la musique à fond pour la vieille peau ! Tiens ! La vieille ! De la Techno à fond ! Manges !
FIN
Ange The Return- Démon
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Situation amoureuse : mmm... ya du mouvement
Date d'inscription : 12/10/2006
Re: redac'
Mdr ange a pété une durite ^^'
Read is dead- Démon
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Date d'inscription : 05/10/2006
Re: redac'
nan j'ai simplement mis mon moi-meme dans le contexte : samedi soir entre 20H et 22H ^^
Ange The Return- Démon
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